MÉDITATION DU 26 AVRIL 2022

MÉDITATION
DU 26 AVRIL 2022

 

Lecture :
Éphésiens 2.17-18

 

La bonne nouvelle
de Jésus-Christ s’adresse tant aux païens, ceux qui étaient loin, qu’aux Juifs,
ceux qui étaient proches. La bonne nouvelle présuppose une mauvaise nouvelle.
Nous avons tous été trouvés pécheurs, perdus, condamnés, et nous étions
incapables de régler notre problème nous-mêmes. Nous ne le voulions même pas.
Et là vient la bonne nouvelle, l’évangile de Jésus-Christ.

 

Il est venu
accomplir toutes les conditions de Dieu, en particulier l’expiation de nos
péchés, afin que le St-Esprit applique aux élus les bienfaits de l’œuvre du
Fils et que nous recevions sa justice parfaite. Frères et sœurs. Nous devons
comprendre ceci. Nous nous trouvions dans la pire situation qui soit. Aucune
autre situation n’est pire ni égale au fait d’être perdu pour l’éternité.

 

Et lorsque nous
devenons enfants de Dieu, nous passons de la pire à la meilleure situation qui
soit. Nos péchés sont expiés. Notre avenir est assuré. Nous serons bientôt
complètement recréés par la glorification, et déjà nous le sommes en esprit [2
Corinthiens 5.17 ; Éphésiens 2.10]. Cette bonne nouvelle fait en sorte que
toutes nos difficultés présentes, toutes nos épreuves prennent une orientation
positive puisque, loin de nous détruire, elles nous construisent, elles nous
affermissent, elles nous font grandir en Jésus-Christ. Frères et sœurs, la
bonne nouvelle de Jésus-Christ n’est pas juste pour l’éternité future. C’est
déjà présent dans nos vies.

 

De plus, le fait que
cette bonne nouvelle soit tant pour les païens que pour les Juifs fait partie
de la bonne nouvelle. Dieu n’a pas fait de distinction de personnes [Romains 3.23].
Sans cette ouverture aux nations, la très grande majorité des chrétiens n’auraient
pas pu être sauvés.

 

Paul présente la
bonne nouvelle comme l’accès auprès du Père [Éphésiens 2.18]. C’est en raison
de notre péché que nous étions séparés de Dieu [Ésaïe 59.2]. Notre Dieu est
trois fois saint et ses yeux sont trop purs pour voir le mal [Habaquq 1.13]. Il
y avait une impasse infranchissable pour nous. Comment était-ce possible que des
pécheurs puissent avoir accès à ce Dieu qui ne tolère pas le péché ?
C’est par l’expiation de nos péchés.

 

Si on se demande
ce qu’il y a de plus précieux dans le salut, l’accès à Dieu devrait être en tête
de liste. Bien sûr, il n’y aura plus ni maladie, ni souffrance, ni aucune
conséquence du péché dans la nouvelle création. Il y aura aussi plein de
bénédictions. Notre héritage est incalculable. Mais toutes ces choses sans Dieu
seraient vides et nous n’aurions aucun bonheur. Que cela nous garde près de
lui.

 

Père céleste, nous
te louons d’avoir désiré cet accès à toi et d’avoir tout fait pour le réaliser.
Amen !

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Daniel Durand, pasteur

Église réformée baptiste de Drummondville

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